Carole découverte en couche par sa fille

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il y a 9 ans

Author: PT

Tout commença il y a un an déjà. Philippe la trouvait très ouverte d'esprit, jeune et jolie, accomplissait les moindres désirs de son épouse. Les présentations étant faites, je vais essayer de vous expliquer comment cette famille, pourtant sans histoire, a désormais de quoi intriguer pas mal de monde. Voila comment tout s'est passé il y a un an donc.

Carole venait de s'installer dans le canapé aux cotés de son époux pour passer une soirée tranquille, chaque e n f a n t ayant sa propre télé à l'étage, le rez de chaussée baignait dans un calme absolu. Rien de bien extraordinaire dans la programmation de la première partie de soirée, le couple se laissait rêver sous l'émission voyage diffusée par la chaîne publique le vendredi. 11h, avant d'éteindre, petit zapping afin de se diriger vers la chambre à coucher sans remords. Alors que son mari allait éteindre, Carole resta bloquée sur la dernière chaîne. Une émissions adorant faire l'apologie du loufoque intéressait cette fois la jeune mère : un reportage sur des couples aimant se langer.

  • Tu sembles vouloir regarder ? demanda Philippe, étonné de l'intéret que portait sa femme à ce reportage.

  • Oui, attends, ça a l'air rigolo. Lui répondit-elle en esquissant un sourire.

Son mari resta, amusé, auprès d'elle. Aucun d'entre eux ne fit de commentaire pendant ni après l'émission, jusqu'au moment où, couchés, les lumières allaient s'éteindre. "C'était amusant ça m'aurait presque donné envie d'essayer" dit Carole d'une voix enthousiaste. "Vraiment ? tu voudrais que je m'occupe de toi comme ca" lui répondit son mari en rigolant et en l'embrassant dans le cou. La conversation n'alla pas plus loin et se termina sur un traditionnel "bonne nuit" mutuel. Le lendemain Carole était seule a la maison et s'apprêtait à faire le ménage. Le fait que le reste de la famille travail ou aille à l'école lui laissait beaucoup de temps pour accomplir les activités domestiques et réfléchir. Elle repensait à ce qu'elle avait vu la veille. Les témoignages l'avaient visiblement convaincu et la nuit qu'elle venait de passer avait été ponctuée des rêves touchant au même domaine. Évidemment sa conscience la poussait à agir en adulte responsable et mère sérieuse. Seulement l'autre Carole, celle aimant rigoler et relativiste, tendait plutôt a dédramatiser son nouveau penchant. La décision était prise elle en achèterait le lendemain : si elle appréciait le test elle en parlerait à son époux, sinon elle aurait vite fait d'oublier ce nouveau désir.

Le reste de la journée se passa tout a fait normalement, les filles rentrèrent de cours, Philippe du travail, et tous partagèrent leur journée autour du repas. Ce n'est qu'une seule avec son mari que Carole vendit la mèche. Tu sais ce qu'on a vu hier soir... dit elle du voix hésitante, ça ne m'a pas laissé indifférente. Comment ça ? interrogea Philippe qui ne voyait pas où elle voulait en venir. Et bien j'aimerais essayer... avant que son époux ne puisse reprendre la parole elle poursuivit : Les femmes qu'on a vu témoigner avait vraiment l'air épanouies et j'ai envie de savoir ce que cela fait. Son mari rigola puis tenta de convaincre en vain sa femme d'abandonner l'idée saugrenue. La voyant décidée il décida alors de l'épauler comme il avait déjà pu le faire dans le passé. "Comme tu veux..." dit il avant d'éteindre la lumière. Pour Carole la nuit fut similaire a la précédente et elle se réveilla 1h avant le réveil tant nerveuse par ce qu'elle allait accomplir dans la journée. Tous partir travailler et Carole pris la direction du centre commercial.

Elle se gara, pris un chariot, respecta sa liste en mère bien ordonnée, puis se dirigea vers le rayon hygiène féminine. Carole avait déjà vu ce qu'elle recherchait lorsqu'elle venait prendre ses produits dans le même rayon. En parfaite novice elle regarda longtemps les différentes indications inscrites sur les paquets à sa disposition avant d'opter pour un particulier.

Elle le posa sur son chariot, paya ses courses, les rangea dans le coffre puis rentra. Comme d'habitude en 30 minutes l'ensemble des achats avaient trouvé leur place. L'ensemble ? pas tout a fait, puisqu'un paquet demeurait sur la table du salon. Alors que le passage en caisse ne l'avait, a sa surprise, absolument pas gênée, voila qu'a présent au moment d'essayer elle devenait nerveuse. Elle se saisi du paquet, et son coeur battais de plus en plus vite. Elle déchira l'emballage et sorti une tena slip maxi en taille M.

Elle allait pouvoir voir si elle ne s'était pas trompée. Elle défit les boutons de son pantalon plus le retira et le posa sur un dossier d'une chaise du salon.

Se dirigea vers le canapé et s'assit avant de s'allonger. Alors elle enleva doucement sa culotte et la posa a coté de la table basse. Ça y est elle allait enfin essayer : elle déplia la couche, et leva son derrière, plaça le cote avec les adhésifs sous ses fesses. Elle nota au passage leur nombre : quatre au lieu des deux habituels sur les modèles qu'elle mettait jadis a ses filles. Elle reteint son souffle avant de rabattre l'avant de sa couche et d'y coller les attaches prévues a cet effet. Elle respira à nouveau, les joues rouges et tout en redressant afin d'adopter une position assise, tapotant l'avant de sa couche de la main droite. Elle ne put s'empêcher de sourire.

Carole se leva alors du fauteuil afin d'apprécier son nouveau sous vêtement. Difficile dans un premier temps de resserrer les jambes mais elle aima tout de suite. Si on lui aimait demandé pourquoi elle aurait certainement été incapable de répondre, ou peut être aurait elle évoqué la sensation de douceur et de sécurité (arguments qu'elle avait entendu voila deux jours a la télé). Elle fit quelques pas toujours le sourire aux lèvres et le regard dirigé vers son entrejambe. Ses jambes la conduire jusqu'a la salle de bain sur la porte de laquelle se trouvait un miroir. La mère rigola en se voyait ainsi accoutrée mais elle s'admira longtemps se trouvant mignonne. 5 minutes plus tard elle décidait d'attaquer le ménage et était fermement décidée de le faire dans cette tenue. La maison vide, le risque qu'on la voit était donc quasi inexistant. Carole rangea son paquet dans le placard de la chambre conjugale avant de retourner dans le salon l'air insouciant.

Alors que la jeune mère atteignait sa destination, un bruit de clés déverrouillant une serrure vint casser le silence de la pièce. Carole eu a peine le temps de regagner sa chambre que sa fille aînée entra dans la maison. Céline ayant juste eu le temps de voir la silhouette appela d'un ton hésitant "Maman ?". Sa mère n'eu pas d'autre choix que de lui répondre depuis sa chambre "Oui attend je suis dans ma chambre j'arrive". Avant même de se demander comment elle allait se sortir de cette situation elle s'interrogeait sur le motif du retour si prématuré de sa fille. Elle n'eu que le temps d'une courte réflexion avant que Céline n'entre sans prévenir dans la chambre. Elle trouva sa mère assise sur le sol de l'autre cote du lit. "Maman, pourquoi y a ta culotte et ton pantalon dans le salon ?" demanda Céline très intriguée par ce qu'elle venait de trouver.

Stupéfaite Carole était rouge : comment avait elle pu laisser ses affaires ainsi disposées où tout le monde pouvait les voir. N'ayant pas de réponse de sa faire Céline contourna le lit en insistant "qu'est ce qui se passe ?". Sa mère tenait un oreiller sur ses cuisses ne laissant que le bas de ses jambes nues. "Je ne sais pas si je devrais t'en parler." Répondit Carole toujours aussi rouge et dont le regard était toujours dirigé vers le sol. Cette réponse ne fit qu'éveiller les soupçons de Céline qui revint bientôt a la charge : qu'est ce que tu me caches ? Je peux comprendre certaines choses. Y a quelqu'un d'autre dans cette pièce c'est ça ?". Carole rectifia immédiatement la situation "Mon Dieu non ! mais ce ne serait pas bien que tu en saches davantage ça déplairait a ton père". "Quoi ? ça peut rester entre nous comme la fois où tu avais abîmé et jeté ses vêtements" rétorqua Céline. "La c'est différent..." "Mais je ne te jugerai jamais tu es ma mère ! qu'est ce qui se passe ?"

"Très bien... puisque tu insistes tant je vais te mettre au courant. Mais avant promets moi que ça restera entre nous et personne d'autre !"insista Carole. "Je te le promets maman". Sur ces mots la mère retira l'oreiller, dévoilant ainsi sa tenue a sa fille. Céline rigola "oui je comprends ton embarra mais je croyais que c'était bien plus grave que ça !". A moitié soulagée par ce qu'elle venait de dévoiler a sa fille. Carole dit "souviens toi de ta promesse". "Oui je garderai ca pour moi ne t'en fais pas. Mais... Tu as des problèmes que tu portes une couche ?" "Non... a vrai dire... on est tombé sur une émission l'autre jour avec ton père qui parlait de ça et ça m'a donné envie d'essayer". "Oui des copines m'en ont parlé. Mais je ne pensais qu'en rentrant de mon cours de géo annulé que je trouverais ma mère comme ça". "Oui ça n'aurait jamais du arriver" répondit Carole toujours gênée.

"Bien je te laisse demain je n'ai cours que le matin mais j'ai pas mal de dossier a faire donc je te laisse".

Sa fille venant de quitter la pièce, Carole reprit ses esprits, ôta sa couche par rancune sans doute, et fit son ménage comme prévu le restant de l'après midi faisant mine d'ignorer l'incident. Le reste de la journée passa, Philippe et Amandine rentrèrent et le repas eu lieu comme d'habitude. Ni Carole ni Céline n'éveillèrent les soupçons au sujet de l'incident de l'après midi, juste Philippe trouva sa femme moins bavarde qu'a l'accoutumé. La nuit se passa et Carole eu de nombreux remords après l'après midi qu'elle venait de vivre. Elle passa le lendemain matin a regarder la télé comme tous les mardis matins jusqu'au retour de Céline a midi pour manger.

"Bonjour maman" dit elle en poussant la porte. "Bonjour mon coeur ta matinée a été bonne ?" "Oui ça va on a eu sport donc je suis un peu K.O. mais ça va" répondit Céline en souriant.

Elle parti dans sa chambre et Carole prépara a manger. Elle appela ensuite sa fille et elle dînèrent en tête à tête parlant du lycée de Céline. En fin de repas Carole se leva pour débarrasser la table. Sa fille posa un regard sur les fesses de sa mère et lui dit en rigolant :"tu n'es pas langée aujourd'hui ?". Carole lui répondit sans se retourner "non figure toi que l'expérience d'hier m'a quelque peu refroidi". "Mais il ne faut pas que tu te sente gênée par ce que tu as fait, tu sais j'ai des copines qui ont fait la même chose et a cause de l'émission comme toi". "Oui mais elles n'ont pas mon age" "Genre ! ca veut dire quoi ca je te trouve tres jeune" "je n'ai pas eu un comportement raisonnable" répondit sa mère toujours tournée vers le lave vaisselle. "mais tu n'as rien fait de mal, et d'ailleurs j'essaierais bien moi aussi". A ces mots Carole se retourne "Quoi ? ça ne va pas ? c'est pas parce que j'ai commis une bêtise que tu dois faire pareil !" "Voyons maman y a rien de mal a mettre une couche pour voir l'effet que ça fait et puis ça restera entre nous..." "Mais j'y compte bien !" répondit immédiatement Carole. "Bon alors t'es d'accord ?". "Je n'ai pas vraiment le choix... je peux difficilement t'interdire de faire quelque chose que j'ai fait". Céline séduite par ce qu'elle venait d'entendre se leva embrassa sa mère sur la joue et lui dit "merci maman t'es super cool". "Je ne vois pas ce que j'ai pu faire de cool..." Céline parti dans sa chambre toujours aussi enthousiaste.

Quelques minutes plus tard sa mère entra et lui déposa une couche sur le lit.

"Tiens voila ce que tu voulais tant...". A ces mots Carole allait repartir mais elle fut interrompu dans son élan par sa fille. "Maman... dit elle en se levant du bureau est ce que.. tu pourrais..." cette fois c'était Céline qui fixait le sol et qui était rouge. "Voila j'aimerais que ce soit toi qui me la mette je ne suis pas très experte". Sa mère rigola et excepta "d'accord alors allonge toi sur le lit".

Céline s'exécuta immédiatement. Sa mère s'approcha d'elle, défit les boutons de son jean puis le fit glisser jusqu'aux chevilles de Céline qui, depuis peu, avait les joues rouges. Carole fit de même avec la culotte, avant de déplier la couche. "Tu penses qu'elle va m'aller ?" interrogea Céline plus pour se détendre que pour avoir un renseignement. "Bien sur si elles me vont elles t'iront également". En même temps qu'elle prononçait ces mots elle plaçait la couche sous les fesses de sa fille. Elle rabattit lentement le devant et y attacha les adhésifs. Elle passa ensuite ses doigts de chaque coté afin de vérifier que les barrières étaient correctement installées. Vérification faite, elle dit a Céline "voila ma fille ! mais remets tes affaires par dessus et ne la garde pas trop longtemps ça serait bête que tu te fasses prendre comme moi" Ce à quoi Céline acquiesça. Carole quitta la pièce pendant que sa fille se remettait sur ses deux jambes afin de remonter sa culotte et son pantalon sur les conseils nouvellement donnés. La tache accomplit elle se rassit sur le lit et tapota longtemps le devant de son entrejambe tout en le fixant du regard, sourire aux lèvres. "C'était aussi bien que ce que m'avait dit mes copines" devait elle se dire. Céline s'assit ensuite à son bureau pour faire ses devoirs.

Il était 15h et Céline gigotait déjà depuis quelques minutes sur son fauteuil, elle refusait d'y penser mais elle avait de plus en plus envie d'aller aux toilettes. Sa mère l'appela pour lui proposer d'aller faire les courses ensemble. Céline accepta comme d'habitude et mis un long manteau afin d'éviter d'éveiller des soupçons.

En voiture elles discutèrent de chose et d'autres jusqu'au centre commercial. En une heure tout était acheté. Carole et Céline mirent les affaires dans le coffre puis s'installèrent dans la voiture. Sur le chemin du retour, Carole vit que sa fille ne cessait pas de remuer. "Qu'est ce qui t'arrive ma puce ?" "Rien... c'est juste que je ne suis pas aller aux toilettes avant de partir et là j'ai très envie de faire pipi..."répondit sa fille. "Ah si ce n'est que ça... tu n'as qu'à faire comme moi : fais dans ta couche". Céline fixa un instant sa mère souriante. "Tu as une couche maman ?"demanda t elle d'une voix innocente. "Oui c'est ce que je viens de te dire" "et tu as fait pipi ?" "je suis en train". Céline n'en croyait pas ses oreilles sa mère était en train de faire pipi dans une couche juste a coté d'elle.

Toujours dans ses pensées elle porta son regard sur l'entrejambe de sa mère et nota effectivement une petite rondeur mais rien qui ne laissait supposer qu'elle portait une couche. Céline retrouva ses esprits et regarda a nouveau devant elle.

Quelques instant plus tard alors que sa vessie la brûlait davantage, Céline libéra involontairement un petit jet dans sa couche. Surprise elle poussa un petit cri qui alerta sa mère. "Ca y est ?" demanda sa mère en rigolant "non non j'essaie de me retenir au contraire..." A cet instant Carole s'arrête au feu passé au rouge, et se tourna vers sa fille : "Mais tu n'en as pas besoin" et à ces mots elle chatouilla sa fille. "arrête maman ste plait !" supplia Céline en se débattant. Le feu repasse au vert, Carole reprend le volant et redémarre.

Mais Céline toute crispée se cramponne a la portière et à son siège. Elle pousse une série de petits cris horrifiés. Carole comprend tout. "Alors tu n'es pas mieux comme ça ?" demanda Carole en passant la main sur l'entrejambe de sa fille. D'abord honteuse et horrifiée par ce qu'elle venait de faire, Céline se réinstalle normalement sur son fauteuil et fixa l'avant de son jean. "Y a même pas de fuites" dit elle en commencent a apprécier la chaleur qu'elle ressent dans sa couche. "C'est normal c'est fait pour ca" dit Carole en détournant son regard du trafic pour regarder sa fille qui appuyait sa couche mouillée sur son corps a travers son jean. Un quart d'heure plus tard elles étaient à la maison.

Céline descendit la première et marcha en canard a cause de l'effet plutot désagréable de sa couche froide sur sa peau. Elles déchargèrent ensemble et rangèrent ensemble la totalité des achats.

Une fois le travail accomplit, Carole dit à Céline "merci ma puce. Il nous reste encore deux heures avant la rentrée de papa et de ta soeur... Veux tu que je te change ?" Céline devint rouge comme la première fois mais néanmoins accepta. Tout comme la première fois Céline s'allongea sur son lit, mais cette fois en attendant sa mère, elle retira son jean et sa culotte restant ainsi en chemisier et en couche. Carole entra alors que sa fille fixait le plafond. Elle posa une couche sur le lit. Céline fut une nouvelle fois surprise lorsqu'elle se rendit compte que sa mère ne portait qu'une couche et un tricot. Elle n'avait pas menti sa couche était aussi mouillée que celle de Céline. "Effectivement c'était une très grosse envie" dit Carole en posant sa main sur l'avant de la couche de sa fille. Céline ne répondant pas, Sa mère défit les attaches, roula en boule la couche et la posa au pied du lit. Elle déplia ensuite le nouveau change et le plaça sous les fesses de sa fille. Elle rabattit l'avant fixa le nouveau change puis aida Céline a se relever. En se redressant pour ajuster sa couche Céline posa le pied sur ce qu'elle cru être sa couche sale. En fixant l'objet en question elle fut surprise de constater qu'il s'agissait en fait d'une couche propre. "Pourquoi as tu pris deux couches maman ? Je n'en ai besoin que d'une..." affirma Céline intriguée.

"Oui je sais mais ce n'est pas pour toi, moi aussi j'ai besoin d'être changée" dit Carole en s'allongeant sur le lit de sa fille. Céline était abasourdit "tu veux que je te lange ??" "oui il faut bien que tu apprennes quand tu auras des e n f a n t s et pour quand je serai vieille". Céline s'assis alors en tailleur a cote de sa mère, se saisi de la couche sur le sol et la déplia. Elle suivit l'exemple de sa mère en défaisant les attaches et en roulant la couche sale. "Toi aussi tu n'as pas fait semblant" complimenta Céline qui commençait a trouver la situation amusante. Elle plaça ensuite la nouvelle couche sous les fesses de sa mère, remonta l'avant et y fixa les 4 adhésifs. "c'est ok" dit elle une fois la manoeuvre exécutée. "Merci ma puce" dit Carole en se redressant pour embrasser sa fille sur le front. "Maintenant retourne a tes devoirs, je ne voudrais pas être responsable si tu as des ennuies à l'école.

Humm très belle histoire
Belle histoire a suivre j'adore
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